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Le blog de Herbovie

Les hyksos, ancêtre des hébreux, se seraient assimilés au peuple d'Egypte et auraient transmis des connaissances à la Chine

4 Septembre 2016 , Rédigé par Herbovie / 生命之草 (http://herbovie.over-blog

Photo d'un char egyptien (source: s1.e-monsite)

Photo d'un char egyptien (source: s1.e-monsite)

L’hypothèse est que les Hyksos, venant d’une région en mésopotamie qui correspondrait à l’Irak ou à l’Iran, seraient les ancêtres des hébreux.

 

Les Hyksos

Source: wikipedia

Lien: https://fr.wikipedia.org/wiki/Hyks%C3%B4s

On place le plus souvent l'arrivée de Joseph en Egypte vers la fin du Moyen Empire égyptien, ou plutôt durant la « deuxième période intermédiaire », une époque troublée de l'histoire égyptienne qui sépare le Moyen Empire du Nouveau, approximativement entre 1700 et 1550 av. J.-C. C'est le temps où des populations asiatiques investirent le delta du Nil et prirent le pouvoir dans cette région en s'attribuant le titre de rois. Ces envahisseurs appelées Hyksos (heka khasewet, chefs des pays étrangers) établirent leur capitale à Avaris, dans l'Est du delta, et s'efforcèrent d'adopter la culture et le mode de vie égyptiens. Ils furent finalement chassés d'Egypte par les princes thébains qui restaurèrent l'indépendance du pays.

L'hypothèse de l'arrivée de Joseph en Egypte à l'époque des Hyksos trouve plusieurs justifications. La nomination d'un ministre sémitique à la cour d'Egypte est moins inconcevable sous un régime d'occupation étrangère d'origine proche-orientale. L'absence d'archives égyptiennes mentionnant un vice-roi nommé Joseph peut s'expliquer par le manque cruel d'informations disponibles sur cette période, censurée par les successeurs et ennemis des Hyksos.

Un argument économique avancé est la somme versée pour la vente de Joseph par ses frères : cent talents d'or (Gn. 37, 28), un montant qui correspond effectivement au prix moyen des esclaves lors de la première moitié du second millénaire av. J.-C. ; il devait monter à deux cents talents à la fin du second millénaire, puis à cinq cents au cours du premier.

Un indice matériel figure dans l'un des derniers versets de la Genèse, où il est précisé que le roi d'Egypte permit à Joseph d'aller enterrer son père Jacob en Canaan « avec des chars et des cavaliers » (Gn. 50, 9). Or l'introduction du char en Egypte remonte précisément au temps des Hyksos : cet élément fait de la seconde période intermédiaire une limite antérieure pour l'entrée en Egypte de la famille de Jacob.

Traditionnellement, seuls six dirigeants de la XVe dynastie égyptienne sont appelés « Hyksôs ». Les noms hyksôs sont très proches des noms cananéens, confirmant un lien avec le Levant antique. Les Hyksôs introduisirent de nouveaux armements en Égypte, notamment l'arc composite, le cheval et le char.

Quand on voit en effet que les Hyksôs ont apporté l'arc composite, le char, des nouvelles flèches, de nouveaux boucliers, sabres, dagues, casques et cottes de mailles, on est en droit de croire qu'ils étaient une force militaire incontestable.

Dans son livre Contre Apion, l'historien Flavius Josèphe identifie de manière fantaisiste l'Exode d'Israël avec le premier exode mentionné par Manéthon dans lequel 480 000 Hyksos furent expulsés d'Avaris vers la Palestine. Manéthon les appelle « rois-pasteurs » selon une traduction et Josèphe assimile ces « rois-pasteurs » aux Hébreux. Après leur expulsion, les Hyksos fondèrent Jérusalem. Ensuite, ils se lièrent à des « lépreux » en Égypte sous la conduite d'un prêtre d'Héliopolis, Osarseph surnommé Moïse. Il n'est pas sûr que cette identification de Moïse provienne de Manéthon.

 

Les hébreux et Akhénaton

Source : Extrait du texte « on a découvert le message caché de la bible », de Philippe Brassart

Lien : http://www.ladepeche.fr/article/2000/11/26/87133-on-a-decouvert-le-message-cache-de-la-bible.html

Les hébreux auraient eu un pharaon égyptien : Akhénaton. La religion du dieu Aton est la religion du dieu unique, transmis par les hébreux.

Remontons 3350 ans en arrière. Akhet-Aton, capitale de l'empire d'Egypte - connue aujourd'hui sous le nom de Tell El Amarna -, est la ville du pharaon Akhénaton (« Je suis le soleil vivant ») et de la reine Nefertiti. C'est une cité d'or et de lumière, située au nord de l'actuelle Assiout, sur le Nil, c'est la cité sainte du dieu Aton, le « dieu unique », créateur du ciel et de la terre. Akhénaton a rompu, en effet, avec les divinités du panthéon égyptien, il y règne en maître absolu. Quand il meurt, Aï, qui n'est encore que grand prêtre - plus tard, il sera pharaon sous le nom du « Divin Père Aï » -, prend les rênes du pouvoir, assurant la régence en attendant que Toutankhamon (il n'a que huit ans) grandisse.

Alors, tout s'effondre: le culte ancestral d'Amon, dieu multiple, est rétabli, c'est le retour à l'orthodoxie. Aï et Toutankhamon vont faire en sorte que soit effacé tout vestige de cet Akhénaton de malheur qui laissait le reste du pays sombrer dans la misère, et de ce dieu Aton qui proclamait que les hommes étaient égaux et que seule la méchanceté les différenciait!

La ville, cet éden (s'agit-il là du biblique « paradis perdu »?) va être rapidement désertée, avant d'être, ultérieurement, totalement détruite. Tout le monde est chassé: les prêtres d'Aton, les « Yadoudaé », qui vont former le royaume de Juda, les scribes, les notables, l'élite et, avec eux, le petit peuple, « la tourbe nombreuse » dont parle la Bible, le futur Israël (en égyptien, « fils de Râ et de Dieu ») qui entrera en conflit avec Juda.

Dans le tombeau de Toutankhamon, ouvert en 1923, figuraient des inscriptions rédigées en hiéroglyphes insolites, certaines lettres ressemblant à s'y méprendre - forme, prononciation, valeur symbolique - à l'alphabet hébreu. La coïncidence, à l'époque, n'émut personne. Pas plus que celle-ci: sur un mur du tombeau, le double « cartouche (la signature gravée) d'un obscur pharaon, Aï, dont le nom, en hiéroglyphes, ressemble à celui, dans la Bible araméenne, de Dieu, prononcé Adonaï (Aton-Aï). Et, à l'entrée de la salle du trésor, gardant la tombe, couché sur un coffre, le chien Anubis (ou Anapi): en hébreu, « Nabi » signifie « gardien de la loi ». Chien et coffre étaient recouverts d'un tissu sacré rappelant le châle de prière des Hébreux. Le coffre à brancards, lui, pourrait s'apparenter à l' « Arche d'Alliance » telle qu'elle est décrite dans la Bible.

Episode annexe du grand départ des hébreux d’Egypte, la fuite, vers le sud, de la police pharaonique composée de Nubiens, les « Medzaï » (« Fils d'Aï »). Au Kenya, note- t-on, les Masaï se réclament aujourd'hui d'un dieu unique, évoquent leur âge d'or, au nord, et portent des ornements qui ne sont pas sans rappeler les symboles sacrés de l'Egypte ancienne...

Bien des siècles après cette épopée, les scribes, lors de l'exil à Babylone, ennemi juré de l'Egypte, vont rédiger un texte, la Bible, maintes fois remanié, où ne figure plus cette lointaine et gênante origine égyptienne, où les noms sont maquillés.

Et tout concorde: la chronologie des pharaons, leurs vies, leurs actions, la Bible et l'histoire égyptienne. Abraham (« Ab-Rah-Am », père du dieu Râ et Amon)? C'est Akhénaton lui-même: d'un côté l'Abraham biblique à qui Dieu parle, qui rejette le polythéisme et égorge le bélier en lieu et place de son fils Isaak (le pharaon Semenkharé, en égyptien Saak- Ka-Râ?); de l'autre Akhénaton, qui converse avec Aton, rompt avec les divinités, sacrifie le bélier (Amon). Sarah, c'est la belle Nefertiti, Agar, c'est Kiya, la seconde épouse. Moïse (« Mésés »)? C'est Ramsès Ier, homme de guerre, impulsif. Aaron? C'est Horemheb, général puis pharaon. Joseph? C’est AI.

 

Lien entre Hebreux et Hyksos

Source : moiseetramses

Lien : http://moiseetramses.tumblr.com/post/34415965345/chronologie-1-hebreuxhyks%C3%B4s-dans-leur-livre

Il est intéressant de noter qu’un des rois répertoriés de ce peuple (ou conglomérat de peuples errants, Blancs, venant de l’est) se nommait Ya-Kub : A rapprocher du Jacob de la bible, petit-fils d’Abraham qui mena les Hébreux en Egypte.

Un autre élément qui m’induit à penser cela (filiation Hyksôs/dynastie Ramesside) est le nom même du fils de Ra-Msès : Seth-Y.

Le Dieu Seth était un des dieux primordiaux adorés par les Hyksôs, une fois qu’ils s’installèrent en terre d’Egypte et copièrent cette civilisation, plus avancée que la leur.

Avaris, la capitale des Hyksôs abandonnée lors de leur conquête par Ah-Moses, connut une renaissance lors de l’accession des Ramessides au pouvoir : Cela cadre avec l’idée que ces Ramessides étaient d’ascendance Hyksôs : “Avarisienne”.

 

La Chine et les Hyksos

La technologie de l'âge de bronze en Chine ne viendrait pas du nord-ouest du pays par la Route de la soie préhistorique, mais de la mer. Elle aurait été apportée par les Hyksos.

Le livre des mutations chinois viendrait de la culture babylonienne, d'après la comparaison des hexagrammes du « Livre des Mutations » et de l'écriture cunéiforme de Mésopotamie.

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